"Le surentraînement est un échec. Le surentraînement apparaît comme l'illustration physiologique du proverbe "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin, elle se casse". L'athlète surentraîné subit, en effet, la dislocation de ses forces. Il tombe malade, se fatigue vite, perd toute volonté... Peu à peu le sport le dégoûte. Comment en est-il arrivé là ? Par péché d'orgueil, tout simplement. Mais c'est un orgueil bien légitime qui l'anime : se surpasser ! Pour cela, notre homme a multiplié les séances d'entraînement. Sous l'emprise d'une motivation inébranlable, il a puisé très profond dans ses réserves. Puis tout à coup, c'est la détresse. Il se retrouve dans une situation de faillite physique et morale qui ne lui laisse comme autre échappatoire que le repos... ou la convalescence."

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